BÂTIMENT SAIN

Pathologies du bâtiment / Qualité de l'air intérieur

Un impact sanitaire...

Le bâtiment évolue année après année et peut développer diverses pathologies ou vices cachés.

 

Ceux-ci sont principalement liés à l’environnement du bâtiment (humidité, insectes xylophages, parasites, légionelles, radon…), à sa structure et à ses équipements (gaz, électricité), au type de matériau utilisé (amiante, plomb…), ou encore son utilisation (QAI…) ; ils nécessitent des repérages appropriés, complets, normés pour préserver la santé des occupants et public fréquentant les lieux.

 

Sans une traçabilité exhaustive et rigoureuse les opérations de maintenance, de rénovation et démolition comportent des risques pour la santé des travailleurs et de l’environnement des chantiers.

... et économique

Les difficultés résident aujourd’hui dans la complexité à tracer les  pathologies et vices identifiés afin de les traiter et d’en informer les occupants et les différents corps de métier susceptibles d’intervenir sur site, afin de garantir la sécurité de tous.

 

Comment optimiser cette traçabilité afin de capitaliser sur les
données, et éviter les opérations successives qui coûtent cher au donneur d’ordre ?

Rejoignez-nous !

La transformation digitale peut-elle permettre de mieux gérer et donc de prévenir les pathologies du bâtiment ? Quelles sont les méthodes les plus efficaces pour répondre aux exigences sanitaires et réglementaires ?

Campus Transfo Num vous propose de participer au débat pour définir ensemble les méthodes et solutions pour gérer au mieux le bâtiment d’Après, pour un bâtiment plus performant et plus sain pour ses occupants.

 

Diagnostiqueurs immobiliers, bureaux de contrôle, architectes, maitres d’oeuvre et maitres d’ouvrages… venez échanger quant aux problèmes rencontrés, et aux solutions potentielles.

Profitez de l’offre Découverte et devenez acteur du bâtiment de demain !

Quelques chiffres clés

Le coût annuel de l’indemnisation de l’ensemble des pathologies liées à l’amiante (hors dispositif de cessation anticipée d’activité) serait compris entre 584 millions et 1,1 milliard d’euros par an en moyenne et le coût total sur vingt ans compris entre 11,7 et 22 milliards d’euros. L’essentiel de l’écart entre les hypothèses basse et haute s’explique par les écarts dans les prévisions épidémiologiques qui sont particulièrement importantes pour les cancers broncho-pulmonaires.

Rapport d’information du Sénat n° 37 (2005-2006) de MM. Gérard DÉRIOT et Jean-Pierre GODEFROY, fait au nom de la mission commune d’information, déposé le 26 octobre 2005.

Plomb : « Une petite portion de logements présente encore des concentrations préoccupantes de plomb dans l’eau, dans les peintures (dans 24% des habitations) ainsi que dans les poussières déposées au sol ».

Étude CSTB, IRSET et EHESP, 2012